DEBBY FRIDAY - VIEZE MEISJE

"With her debut album GOOD LUCK, DEBBY FRIDAY makes her strongest case yet as a creative superforce."

D’origine nigériane puis émigrée aux quatre coins du Canada (de Montréal à Vancouver en passant par Toronto), c’est pourtant le coucher du soleil qui a été le point de départ des errances de Debby Friday à travers l’espace et le temps. La nuit a représenté pour elle un échappatoire à la dureté de la vie. Elle y a succombé, corps et âme, totalement séduite.

Après avoir performé en tant que DJ pendant près d’un an, elle arrête et connait une série de problèmes personnels. Elle prend alors la décision de s’arrêter dans cet élan et se dessine de nouvelles voies pour aller de l’avant. De ses nuits à visionner des tutoriels YouTube sur la production musicale naît un EP, Bitchpunk, qui conduit à ses premières performances publiques, suivi d’un second EP, Death Drive.

Good Luck, son premier album, s’inspire des hauts et des bas de son histoire personnelle, de ses désillusions et de ses nouveaux objectifs, de toutes ces choses positives comme négatives, qu’elle accueille avec grâce. Co-publié avec un court métrage du même nom (co-réalisé par Friday et Nathan De Paz Habib), Good luck conte une histoire d’individuation, une histoire d’amour à propos d’une femme et de son bien-aimé masqué. C’est une enquête ardente et courageuse sur ce qui se passe derrière le voile de la tristesse et de la cruauté, parce qu’explorer l’obscurité est le seul moyen de comprendre la lumière, mais aussi les gris, les bleus et toutes leurs nuances intermédiaires.

VIEZE MEISJE

Vieze Meisje est le second moi de Maya Mertens, qui chante, joue et comprend tout. Elle écrit des poèmes excentriques qui sont à la fois d’une honnêteté qui fait chaud au cœur, hilarants et parfois d’une élégance brutale. Avec son producteur, et frère d’une autre mère, Azertyklavierwerke, elle organise le « Vieze Cirkel » qui se situe à mi-chemin entre concert, after-party et culte.

En partant du principe que l’existence paradisiaque est contenue dans l’intrépide « oenke boenke » et que Life est un ‘Dirty Circle’, Vieze Meisje établit une unité aléatoire dans un monde qui tourne sur lui-même à l’infini.